Dit ouvertement ce qu'il pense des drogues. Il le fait sans la présomption de prétendre tout savoir. Avec la certitude que tout le monde ne pense pas comme lui. Mais, vivant dans un pays où (peut-être) la liberté d'expression est encore un droit, il exprime et défend ses certitudes.
Il collabore activement avec tout organisme et association de toute ethnie, religion ou faction politique. La prévention des drogues et l'avenir des jeunes ne sont pas le monopole de certains ou de l'État. C'est un devoir civil qui ne dépend ni de la couleur de la peau ni des vêtements que l'on porte.
- Il a parlé à plus d'un million de jeunes.
- 500 représentations du spectacle StupeFatto vu par plus de 300 000 étudiants à travers le pays
- 75 000 élèves ont vu une vidéo de prévention
- 200 000 élèves ont lu le livre StupeFatto